Remplacer les Soucis – 10 août 2013

HEAVEN #4642 – Remplacer les Soucis – 10 août 2013

Dieu a dit:
Quand Je vous dis de ne pas vous faire de souci à propos de quoi que ce soit qui vous préoccupe, à propos de rien de tout cela, Je dis bien ce que Je veux dire. Le souci est équivalent au chagrin d'amour. Quand vous ai-Je dit que vous deviez avoir des chagrins de cœur ou un cœur déchiré? Le souci est une forme de blessure qui vous arrive par petits morceaux. Les petits morceaux s'accumulent et se somment à un testament de ce que vous ne voulez pas.

Vous soucier équivaut à vous planter des épingles. Quel gaspillage de temps! Le souci n'est définitivement pas votre but d'être en vie sur Terre. Quel gaspillage que le souci. De toute façon, il ne rime à rien.

Le souci dit: "Oh! le souci, c'est moi. Je suis coupable de quelque chose. Une autre tuile va me tomber dessus." Le souci est une habitude de sentir le danger. C'est une invitation à rebours.

Vous devriez connaître la différence entre être responsable et être coupable. Soyez responsables. Reconnaissez et acceptez votre responsabilité. Puis redressez les épaules et allez de l'avant dans la vie.

La culpabilité mijote sur le poêle de votre cœur. Acceptez la responsabilité mais non le sentiment de culpabilité. Voyez la culpabilité comme un péché, non pas ce dont vous ressentez la gravité. Je ne permets pas la culpabilité et vous n'allez pas gaspiller votre vie sur la culpabilité. Finie la culpabilité, bien-aimés. Plus jamais.

Je vous ai absous de la culpabilité. La culpabilité est un jeu que vous avez tendance à prendre, oh!, tellement au sérieux. Un jour, quelqu'un vous a pointé du doigt. Maintenant, vous ne cessez de pointer ce doigt sur vous-mêmes, comme si vous méritiez quelque punition, et alors vous vous punissez avec le souci. Assez, dis-Je.

Le souci est une forme de culpabilité. Le souci est une espèce de culpabilité préméditée. C'est une sorte de prédiction ou de refrain: "Oh, non, J'ai fait quelque chose de mal". Vous vous sentez coupables de quelque chose d'avance et aussi après coup.

Avec le souci, vous êtes dans l'attente de quelque chose qui pourrait vous arriver ou quelque chose qui vous concerne et dont vous ne voulez pas et pour lequel vous allez avoir du remords. Comme si le remords était une bonne chose. Reconnaissez votre responsabilité, un point c'est tout. Le souci est une piètre concession à la responsabilité. Le souci engendre le souci. Le souci est un drapeau rouge.

Maintenant, dites à vous-mêmes: "Arrête cette cause de souci. Dieu ne veut pas que je sois une verrue de soucis. Dieu me dit 'Arrête de te soucier maintenant, une fois pour toutes'".

N'ayez pas de regrets, de remords, de souci ou de culpabilité. Un gaspillage de vie, mes chers. Allez faire une promenade, assoyez-vous au soleil, cueillez une fleur. Quoi que vous fassiez, mettez fin à cet incessant souci. Le souci invite chez vous ce dont vous ne voulez pas.

Parfois, vous vous souciez de ce que les bonnes choses que vous cherchez n'arriveront pas. Puis, quand ce que vous cherchiez arrive, vous commencez à craindre de le perdre. Vous pensez "Et si, et si". Ne jouez plus ce jeu de Et si.

Une tonne de poids va tomber de vos épaules quand vous allez laisser tomber le fardeau du souci. Le souci est une espèce d'auto-stoppeur. Le souci se paie une randonnée gratuite sur votre dos.

Dites dès maintenant: "Désolé, souci. Plus de randonnée sur mon dos". Le souci ne reconnaît pas les signes. Le souci va essayer de jeter de l'ombre sur vous. Le souci va sauter devant vous, sauter à gauche, sauter à droite. Le souci est comme un mauvais rhume qui ne veut pas s'en aller. Le souci est une toux que vous n'avez de cesse de combattre. Comme une mauvaise toux qui ne cesse de vous harceler, le souci vous empêche d'avoir une bonne nuit de sommeil. Crachez le souci et finissez-en. N'accédez plus au souci. Congédiez le souci. Mettez-y fin.

Par quoi allez-vous remplacer le souci? Pourquoi pas la bénédiction? Bénissez-vous vous-mêmes. Oui, c'est une bonne idée. Je suis content d'y avoir pensé. Bénissez-vous vous-mêmes, bénissez le monde, bénissez tout. Bénissez, bénissez, bénissez. Ne vous souciez plus.

Traduit par: Normand Bourque